(A.P.Hawzah) -Un quart de siècle s’est écoulé depuis le martyre injuste et solitaire du Martyr Mehdi Edoardo Agnelli. Par son acceptation de l’Islam et son adhésion à l’école de salut de la lignée des Imams infaillibles (A.S.), ainsi que par son alignement sur la Révolution Islamique, Edoardo a non seulement divergé de la voie traditionnelle de sa famille, mais il s’est également érigé en emblème de la jonction entre l’Italie et l’Islam pur de Muhammad. Avec une franchise et une bravoure absolues, il a tenu tête à de considérables pressions et a refusé de monnayer son identité islamique et révolutionnaire contre des avantages matériels.

Son martyre, orchestré au moyen d’un dessein structuré, continue de susciter de multiples interrogations. De nouveaux documents et éléments probants révèlent que son retrait de la succession de la société Fiat s’inscrivait dans le cadre d’un projet d’envergure — un projet qui ne pouvait tolérer la présence d’un héritier chiite, libre et de confession musulmane.

Le souvenir d’Edoardo demeure aujourd’hui une flamme éclairant les esprits et les consciences. Il représente un pont inébranlable entre les peuples et les civilisations ; un appel révolutionnaire à la résistance contre l’injustice et à la préservation de la vérité et de l’équité.

Le Martyr Edoardo Agnelli n’est pas une simple mention dans l’histoire, mais une vérité vivante et une source d’inspiration — une vérité qui perdure comme un symbole de résilience en Iran et à travers le monde islamique, et qui peut constituer, en Italie, un paradigme éloquent pour l’affranchissement des chaînes de la sujétion face à l’hégémonie mondiale.