(A.P.Hawzah) -L'Ayatollah Alireza Aarafi, directeur des séminaires iraniens, lors d'une réunion avec les membres de la procession Khadem al-Reza, a évoqué la haute position de ce groupe religieux et son activité de trois décennies au service des Ahl al-Bayt (PBUT), et a apprécié les efforts et les luttes des membres de ce groupe.

L'ayatollah Arafi, tout en affirmant que les secrets divins sont cachés dans l'Achoura et la personnalité de l'Imam Hussein (que la paix soit sur lui), a déclaré : « La grandeur de l'Achoura réside dans son impact durable et unique sur l'histoire de l'islam et de l'humanité en un laps de temps très court, et restera le plus grand événement de l'histoire jusqu'à l'avènement de l'Imam Al-Mahdi (PSL). »

Le directeur du séminaire iranien a également souligné que « l'Achoura n'était pas seulement une confrontation entre le bien et le mal, mais un événement riche de connaissances et de secrets divins dont chacun bénéficiera au plus près. » Il a ajouté : « Ceux qui œuvrent au sein d'organisations religieuses sont plus proches de ce centre spirituel et divin et bénéficieront de ses bienfaits particuliers. »

Tout en soulignant la place de l'Achoura dans l'identité religieuse et nationale des Iraniens, il a déclaré :L'Achoura a joué un rôle clé dans l'indépendance, la dignité et la grandeur de la République islamique d'Iran et a été une source d'inspiration pour la formation et la poursuite de la Révolution islamique. La Révolution islamique est une manifestation de l'Achoura et a transmis son message au monde entier.

Le recteur du séminaire iranien a également souligné l'importance de la ville de Qom et de son identité. Il a déclaré : « Qom, riche d'une histoire ancienne, est un centre scientifique et juridique abritant le sanctuaire sacré de Hazrat Masoumeh, que la paix soit sur elle, et ce patrimoine historique doit être renforcé. Les habitants de Qom sont les principaux actionnaires de cette grande capitale, et le sentiment d'appartenance à l'histoire et à l'identité de Qom doit être renforcé dans les programmes religieux et culturels.»

A la fin, l'Ayatollah Arafi a évoqué son expérience personnelle durant le mois de Muharram en Afrique, en déclarant : « Lors d'un de mes voyages en Afrique, j'ai extrait plus d'une centaine de leçons d'Achoura pour un discours, ce qui montre la profondeur de la grandeur de cette grande école. »