Qom(A.P.Hawzah) -Dans ses sermons du vendredi à la salle de prière d'Al-Qods aujourd'hui, vendredi 21 Shahrivar 1404 (12 septembre 2025), correspondant au 19 Rabi' al-Awwal 1447 AH, Son Eminence l'Ayatollah Alireza A'rafi, l'Imam de la prière du vendredi de Qom et Directeur des Séminaires, a abordé les questions politiques, culturelles et éducatives les plus importantes aux niveaux iranien et international.
À l'occasion de la Semaine de l'Unité, l'Ayatollah Arafi a commémoré le 1500e anniversaire de la naissance du Prophète Muhammad (que la paix soit sur lui et sa famille), expliquant les caractéristiques de la société préislamique avant la mission du Prophète, du point de vue du Commandeur des Croyants, l'Imam Ali (que la paix soit sur lui), dans son livre « Nahj al-Balagha ».
Il a souligné que le Prophète (que la paix soit sur lui et sa famille) a réveillé une société engluée dans le sommeil des égarements préislamiques et l'a transformée en une civilisation pionnière, qualifiant cette grande transformation de « miracle du Coran et de l'islam ». Il a appelé la nation islamique à revenir aux valeurs et à l'approche du Prophète, notamment face à ce qu'il a qualifié d'« ignorance moderne ».
Son Éminence a évoqué la récente attaque israélienne contre le Qatar, la décrivant comme une preuve évidente de « la véritable nature de l'entité sioniste ». Il a souligné que « cette attaque, dans le contexte des événements des deux dernières années, révèle plus que jamais la nature malveillante de l'Occident et de son allié sioniste ».
L'imam du vendredi de Qom a averti les gouvernements islamiques que « s'ils ne résistent pas à cette agression et ne désarment pas la résistance, ils seront également des victimes. L'ennemi ne fait aucune distinction entre nous et veut que nous nous rendions, soyons humiliés ou détruits.
Dans le contexte de la politique étrangère, il a abordé les négociations nucléaires, qualifiant la partie adverse de « brisée et injuste », soulignant que « le peuple iranien a une civilisation de longue date et mérite le dialogue, mais l'expérience des négociations a prouvé que les étrangers ne respectent pas leurs engagements », déclarant : « Nous endurerons les épreuves, mais nous n'accepterons jamais l'humiliation.
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