(A.P.Hawzah) -L’Ayatollah Khamenei, Guide suprême de la Révolution islamique, a conseillé dans l’une de ses recommandations, à la question : « Quel acte recommandez-vous pour la satisfaction des besoins importants ? », d’accomplir la prière de Ja’far al-Tayyâr. Le texte de cette question ainsi que la description de la manière d’accomplir cette prière sont présentés ci-dessous aux érudits et personnes cultivées :
Recommandation pour la satisfaction des besoins
Question : Quel acte recommandez-vous pour la satisfaction des besoins importants ?
Réponse : Il est recommandé d’accomplir la prière de Ja’far al-Tayyâr (as), dont la chaîne de transmission est authentique et dont l’efficacité a été éprouvée, ainsi que la prière dédiée à l’Imam du Temps (as), selon la méthode mentionnée dans le Mafâtîh al-Jinân de l’auteur al-Qommî (ra), dans la section des prières des Imams infaillibles (as).
Description de la prière de Ja’far al-Tayyâr
La prière de Ja’far al-Tayyâr se compose de deux prières de deux unités (rak‘at). Dans chaque rak‘at, après la récitation de la Fatiha et d’une autre sourate, on récite quinze fois :
سُبْحانَ اللهِ ، وَالْحَمْدُ لِلهِ ، وَلا إِلٰهَ إِلّا اللهُ ، وَاللهُ أَكْبَرُ
« Subḥân Allâh, wal-ḥamdu lillâh, wa lâ ilâha illa-llâh, wa-Allâhu akbar ».
Gloire à Dieu, Louange à Dieu, il n'y a de Dieu que Dieu, Dieu est plus Grand !
Cette formule est également récitée dix fois pendant l’inclinaison (rukû‘), dix fois en se relevant du rukû‘, dix fois dans la première prosternation (sujûd), dix fois en se relevant de celle-ci, dix fois dans la seconde prosternation, et dix fois après s’être relevé.
Pendant le rukû‘ et le sujûd, il est permis de ne pas réciter la formule habituelle « Subḥâna rabbî... », mais par précaution recommandée (iḥtiyât mustaḥabb), il est préférable de la dire en plus des glorifications susmentionnées.
Cette prière ne comporte pas de sourate obligatoire, mais il est préférable de réciter dans la première rak‘at la sourate « az-Zilzâl », dans la deuxième « Al-‘Âdiyât », dans la troisième « an-Nasr » et dans la quatrième « at-Tawhîd ».
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