(A.P.Hawzah) -Le vin est considéré comme une menace sérieuse pour la santé mentale et psychologique, et peut provoquer des troubles mentaux ainsi que des comportements violents.
Dans la série de questions-réponses suivante, nous examinons la raison de l’interdiction du vin et ses effets destructeurs.
Question :
Pourquoi le vin est-il interdit en islam ?
Réponse brève :
L’une des raisons de l’interdiction du vin en islam est la destruction de la raison humaine. Les statistiques montrent que les buveurs de vin sombrent progressivement dans la folie. En réalité, le vin détruit le bien le plus précieux de l’être humain — sa raison — et le ramène au rang des animaux. Mais l’interruption de la raison n’est que le début des malheurs du buveur ; cela peut le pousser à commettre toutes sortes de crimes. C’est pourquoi l’islam, en connaissant tous les méfaits et les conséquences de cette boisson dangereuse, a décidé de l’interdire pour protéger l’humanité.
Réponse détaillée :
Certains peuvent se demander pourquoi les versets du Coran et les récits des Imams infaillibles (paix sur eux) condamnent si fermement le vin, et quelle en est la sagesse. La réponse est que de nombreuses raisons existent à ce sujet ; examinons-en une :
Le vin prive l’être humain de sa raison — son joyau le plus précieux. Certains pensent que cette perte de raison n’a lieu que pendant l’ivresse, mais les statistiques démontrent que les buveurs deviennent graduellement fous, au point d’être internés. Aux États-Unis, 85 % des malades mentaux internés dans les asiles sont devenus fous à cause de l’alcool, et seuls 15 % ont perdu la raison pour d’autres raisons.
En Angleterre, on recense 2 249 fous alcooliques pour seulement 53 non-alcooliques. Autrement dit, sur 40 malades mentaux, 39 le sont à cause de la consommation continue d’alcool !
Oui, le vin anéantit ce qu’il y a de plus noble chez l’homme et le déshumanise. Et il est important de noter que la perte de la raison n’est que le début du malheur du buveur : dans cet état, il peut commettre n’importe quel crime. Meurtre, usurpation de biens, vol, atteinte à l’honneur d’autrui, abandon des prières et des devoirs religieux, et des dizaines d’autres actes interdits peuvent découler d’un homme privé de raison et de conscience.




Votre commentaire