۲۶ شهریور ۱۴۰۳ |۱۲ ربیع‌الاول ۱۴۴۶ | Sep 16, 2024
Ali al-Asghar

Hawzah/Abd Allah b. Hussein b. Ali b. Abi Talib (as), connu sous le nom de "Ali al-Asghar" était le plus jeune fils d’Al-Hussein ibn Ali (as). Il est dit que le dixième ou le neuvième jour du mois de Rajab en (l’an 60 AH) Abdullah, fils de l’Imam al-Hussein (as) est né à Médine. Sa mère était Rubabah. Il est le plus jeune fils de l’imam Hussein. Ses frères sont Ali Akbar et Ali Zayn al-Abidin (le quatrième Imam des Chiites). 

(A.P.Hawzah) -A l'occasion du mois de Moharram, mois du martyre de l'imam Hussein (as) et de ses compagnons, L'agence de presse de "Hawzah" présente à ses lecteurs une série d'émissions intitulées " Les partisans d'Imam al-Hussein".

On peut classifier les martyrs de Karbala en deux groupes généraux : ceux de la famille de Banu Hashim, c'est-à-dire les membres de la famille d’Hazrat Aba Abdallah al-Hussein et les compagnons de l’Imam al-Hussein (as).

Dans ce numéro nous présenterons le personnage de «Abd Allah b. Hussein b. Ali b. Abi Talib (as)», I'un des martyrs de Banu Hachim.

Abd Allah b. Hussein b. Ali b. Abi Talib (as), connu sous le nom de "Ali al-Asghar" était le plus jeune fils d’Al-Hussein ibn Ali (as). Il est dit que le dixième ou le neuvième jour du mois de Rajab en (l’an 60 AH) Abdullah, fils de l’Imam al-Hussein (as) est né à Médine. Sa mère était Rubabah. Il est le plus jeune fils de l’imam Hussein. Ses frères sont Ali Akbar et Ali Zayn al-Abidin (le quatrième Imam des Chiites).

Après sa naissance, l’imam al-Hussein lui a donné le nom du ‘’plus jeune Ali’’ [Ali al-Asghar], comme il a nommé tous ses fils Ali; Ali al-Akbar, Ali as-Sajjad et Ali al-Asghar (as) comme il l’a dit (as): "Si Dieu m’a donné mille fils, je les nommerais Ali."

La mère d’Ali Asghar, c’est-à-dire Rubabah, et ses enfants étaient avec l’imam Hussein pendant la bataille de Karbala.

Lorsque l’imam voyait tomber ses proches et ses enfants et qu’il ne restait que lui, les femmes, les tous petits et son fils malade l’imam Sadjad, il lança ce cri : « y a –t-il quelqu’un pour défendre le sanctuaire du messager de Dieu ? Y a-t-il parmi vous quelqu’un qui adore Dieu et qui le craint, celui qui ne considère pas légal l’injustice sur nous ? Y a-t-il quelqu’un pour entendre notre appel et voler à notre secours au nom de Dieu ? Y a-t-il des secouristes qui par espérance de la grâce de Dieu peut venir à notre secours ?

En entendant l’écho de l’appel de secours de l’imam, les lamentations et les sanglots des femmes se levèrent depuis l’intérieur des tentes. L’imam s’approcha des tentes et dit : « passez-moi mon petit enfant Ali que je lui fasse mes adieux.

On lui apporta son enfant. Il l’embrassa, le souleva et dit au gens d’en face : « Gare à vous d’être des oppresseurs et de ceux que le prophète a combattus». Alors que l’imam tenait encore l’enfant dans ses bras, Harmala Ibn Kâmil Assadi pris le bébé pour cible, lâcha sa flèche qui toucha l’enfant en plein gorge. Le sang jaillit, l’imam plaça sa main sous l’entaille béante pour recueillir dans le creux de sa main du sang qu’il balança vers le ciel. Et comme le signifie l’imam Baqir : « pas une goutte du sang d’Ali Asghar projeté en l’air par l’imam ne toucha le sol ».

Quand le tir de l’impitoyable au cœur noir Harmala Ibn Kâmil Assadi pulvérisa le cou du bébé d’une oreille à l’autre, l’imam plaça sa main sous la gorge du bébé agonisant et dit : « O âme, patiente par rapport à ces épreuves que tu subis, Seigneur, tu vois toi-même dans ce monde éphémère quelle genre d’épreuve nous atteint. Garde cela pour le jour du jugement ».

Allamah Majlisi ajoute : « l’imam dit : cette calamité pour moi est facile car cela se passe sous les yeux d’Allah ».

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