۲۳ اردیبهشت ۱۴۰۳ |۴ ذیقعدهٔ ۱۴۴۵ | May 12, 2024
Grand Ayatollah Sistani

Hawzah/ Le Grand Ayatullah Seyyed Ali Sistani a complètement répondu à une question sur la médisance (al-Ghibah). Selon Hawzah, le texte de la question et la réponse de cette autorité religieuse chiite sont les suivants:

Question: Quelle est la définition de la médisance? Et quand sommes-nous autorisés à le commettre? Et quel est notre devoir quand nous entendons quelqu’un médire sur d’autres personnes?

Réponse: La médisance un croyant (mo’min) est parmi les grands péchés et est illégal (haraam). Et la médisance : cela signifie “parler mal d’un croyant en son absence, dans le but de le dénigrer, peu importe si le défaut allégué était lié à son corps, sa lignée, son comportement, ses actes, ses déclarations, sa religion ou sa vie, et d’autres défauts qui sont habituellement cachés aux gens. De même, peu importe que la description ait été faite par des mots ou par des gestes. ”

Et cela se réalise seulement quand il y a un auditeur et que le médisant a l’intention de le dire à l’auditeur et de lui faire comprendre.

Pourtant, quand la personne exacte n’est pas déterminée (comme dire que “l’un des citadins est lâche”), ce n’est pas de la médisance. Celui qui a commis une médisance devrait regretter son acte et se repentir, et “l’obligation de précaution” (Ihtiat al-Wajib) règle qu’il – si cela n’entraînera pas d’autres méfaits – devrait demander pardon à la personne absente, ou faire Istighfar en son nom.

Mais dans certains cas, il soit permis: (parmi les cas est) la médisance de quelqu’un qui commet publiquement des péchés, puis la médisance sur ses défauts qui ne sont pas couverts est autorisée. (Et parmi les cas est) la médisance de l’oppresseur, puis l’opprimé est autorisé à le médire, et “obligation de précaution” (Ihtiat al-Wajib) règles qu’il est seulement admissible en ce qui concerne les cas dans lesquels l’opprimé a l’intention de gagner et surmonter lui. (Et parmi les cas est) conseiller un croyant, il est donc permis de la médisance lors de la consultation, comme quand on conseille à une femme d’épouser quelqu’un. Donc, même si vous n’êtes pas demandé des conseils, mais vous êtes certain que garder le silence sur les défauts de l’autre côté va causer des problèmes, vous êtes autorisé à en parler.

Il est obligatoire (wajib) d’empêcher d’autres personnes de commettre ou de continuer la médisance, et la “précaution recommandée” (Ihtiat al-Mustahab) règles que l’auditeur de la médisance défend la personne absente.

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