La Russie, la Biélorussie, la Corée du Nord, le Venezuela, Cuba, le Myanmar, le Pakistan et les Philippines, ainsi que plusieurs pays arabes, notamment la Syrie, Oman, le Koweït, le Qatar, Les Émirats arabes unis et le Bahreïn ont soutenu la politique chinoise contre les musulmans ouïghours, dans la région du Xinjiang.

Ces pays, dans une lettre, ont déclaré que la Chine avait adopté une série de mesures dans la région du Xinjiang dont la création de centres de rééducation (idéologique) pour lutter contre le terrorisme et le radicalisme religieux.

Dans cette lettre que les ambassadeurs de certains pays africains ont également signée, la politique de la Chine au Xinjiang, est présentée comme une série de mesures pour protéger les droits de l'homme des personnes de différentes origines ethniques.

La lettre a été envoyée au Secrétaire général des Nations Unies qui avait auparavant accusé le gouvernement chinois d'avoir arrêté un million de musulmans dans la région du Xinjiang.