Qom(A.P.Hawzah) - L'ayatollah Mohsen Araki, membre de l'Association des enseignants du séminaire de Qom, a expliqué les dimensions jurisprudentielles et certains devoirs religieux entourant l'utilisation de l'intelligence artificielle lors de la cérémonie d'ouverture de la rencontre nationale intitulée « Applications et capacités de l'intelligence artificielle dans le développement des startups en sciences humaines », qui s'est tenue le mardi 22 avril au Palais des congrès international de Ghadir à Qom.

Le membre du Conseil Suprême des Séminaires, tout en soulignant la position clé de l’intelligence artificielle en tant que nouvel outil de pouvoir, a déclaré :« Gérer cette nouvelle technologie et les questions théoriques et technologiques qui y sont liées, ainsi que les applications et opérations basées sur l'intelligence artificielle, fait partie des devoirs de chacun, et plus particulièrement des devoirs de la gouvernance islamique. En effet, les questions liées à l'intelligence artificielle dans le domaine de la jurisprudence font partie des devoirs fondamentaux, et tout devoir lié à la société vise la gouvernance.»

Il a également souligné que le pouvoir stratégique est principalement lié au macro-comportement, et que l'intelligence artificielle joue également un rôle clé à cet égard. Il est donc essentiel que les autorités déploient tous leurs efforts dans ce domaine. Les juristes ont également le devoir de déduire les décisions jurisprudentielles relatives à ce macro-pouvoir.