Qom(A.P.Hawzah)-Ayatollah Alireza Arafi, dans ses sermons de prière du vendredi cette semaine (10 Janvier), qui a eu lieu à la mosquée Qods à Qom, a remercié les habitants de Qom d'avoir assisté à la réunion avec le Guide suprême le 8 janvier et a déclaré : nous apprécions le précieux leader. Les déclarations du Guide suprême de la Révolution, chaque année à l’occasion de l’anniversaire du 19 Dey, sont inspirantes et éclairantes.

Il a dit : nous devrions chérir les jours d’I'tikaf (jeûner les 3 jours blancs). Parmi les participants, environ un million de jeunes participent au camp de culte, ce qui est un grand honneur. C’est un grand honneur que la plupart des jeûneurs soient des adolescents, des jeunes, des étudiants et des femmes. Cette présence est un signe de croissance et de développement de la société.

Le membre du Conseil des experts en leadership a déclaré : la guerre douce et perceptuelle a une histoire dans l’histoire, mais à l’époque contemporaine, le néocolonialisme a choisi une guerre perceptuelle, complexe en plus des pressions qu’il exerce dans la guerre dure contre les nations libres du monde. Donc, si la jeune génération et la société ne connaissent pas les plans qui ont été élaborés dans ce modèle de guerre, nous échouerons.

Il a ajouté : « L’une des actions les plus importantes de la guerre perceptive est de changer l’identité historique des nations. Chaque famille et chaque nation possèdent une mémoire historique qui est nécessaire à sa survie et à sa croissance, et si cette mémoire leur est retirée, elles échoueront. La mémoire historique inclut la conscience historique, les réalisations, la reconnaissance des points forts et des éléments qui influencent l'identité d'une société. Si cette mémoire est supprimée, la société s'effondrera.

L'imam des prières du vendredi a déclaré dans une autre partie de son discours : les peuples libres du monde islamique doivent savoir que l’axe de résistance est le chemin vers la gloire et la victoire, et par la grâce de Dieu, ils affronteront les conspirations de leurs ennemis.

Dans son premier sermon, l'Ayatollah A'rafi, tout en soulignant que la connaissance dans le culte comporte quatre aspects, a déclaré : connaître Dieu, se connaître soi-même et la connaissance divine sont les premiers aspects de la connaissance dans le culte. Si notre croyance dans la connaissance et la puissance infinie de Dieu est plus grande, les fondements de l’adoration seront plus solides.

Il considérait que la deuxième connaissance était la connaissance du fonctionnement interne du culte et disait : les prières et les formes extérieures de culte ont également un monde intérieur qui est plein de mystères divins et qui n’a pas de fin.

L'imam des prières du vendredi à Qom a déclaré : la connaissance des règles et des coutumes du culte est le troisième aspect. Car le culte que nous rendons a des règles précises et délicates.

Il a rappelé : la connaissance des résultats et des réalisations du culte est l’autre face de la connaissance. La différence entre la civilisation islamique et la civilisation occidentale réside dans les questions basées sur la connaissance de Dieu et sur l’adoration. L’esprit du culte pratiqué dans la salle de prière le vendredi se reflète dans la culture, la politique, l’économie, la société et le mode de vie dans tous les aspects de la vie humaine.