(A.P.Hawzah) -Certains des exemples les plus marquants de vigilance des yeux et d'évitement des regards interdits dans la vie des savants religieux et des grandes figures de l'Islam constituent des pages très importantes de leur éthique pratique et prophétique. Ces comportements, qui s'inscrivent dans le cadre de la piété et de la crainte de Dieu, reflètent la détermination inébranlable de ces individus à respecter les préceptes religieux et à renforcer leur discipline spirituelle. Dans la suite de cet article, nous vous présentons quelques récits inspirants de ces grandes figures religieuses.
L'Ayatollah Javadan (qu'il soit préservé) a raconté : « Le défunt Sheikh Mohammad Reza Tankabani, père du défunt M. Falsafi, tenait un registre de mariage. Lorsqu'on lui apportait des documents pour enregistrer un mariage, si la personne concernée était une femme, il plaçait son pouce sur la photo de la femme pour éviter que son regard ne tombe sur son image. »
Cette piété et cette crainte de Dieu étaient caractéristiques de ces grands hommes.
Une histoire similaire a été rapportée par M. Nejat, qui a raconté que son professeur, l'Ayatollah Seyyed Ali Agha Qazi, disait : « Pendant vingt ans, j'ai veillé à ce que mes yeux ne se posent pas sur ce qui est interdit. » (Dans un environnement comme Najaf, où les femmes portaient le voile intégral.) Grâce à cette vigilance, Dieu a instillé en moi une telle crainte révérencielle que, dès qu'une personne non-mahram entre, mes paupières se ferment automatiquement.
L'une des caractéristiques de Haj Agha Rahim Arbab, selon ses propres mots, était : « Je n'ai jamais commis de médisance, et je n'ai jamais porté un regard interdit sur une personne non-mahram. » Il a ajouté : « Pendant vingt ans, j'ai vécu dans une maison où ma belle-soeur vivait également, mais pendant tout ce temps, je n'ai jamais vu son visage. »
Source : « Il faut apprendre des histoires », page 78
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