۱ اردیبهشت ۱۴۰۳ |۱۱ شوال ۱۴۴۵ | Apr 20, 2024
Hodjatoleslam Aboutorabifard

Hawzah/Hodjatoleslam Aboutorabifard a salué le CGRI pour avoir frappé durement les bases militaires américaines en Irak, et a déclaré que la frappe de missiles du CGRI était une réponse opportune.

L’agence de presse de "Hawzah" (Téhéran- Iran) - Vendredi, devant une assemblée importante et fervente de la population de Téhéran, Hodjatoleslam Sayyed Mohammad-Hasan Aboutorabifard: «La force d'élite (le Corps des gardiens de la révolution islamique) a réussi à détruire la grandeur fictive et artificielle des États-Unis dans la région."

"Cette opération a déclenché la fin de la présence illégale des Américains sur le territoire du monde islamique", a ajouté le haut dignitaire religieux.

Le martyre général Soleymani a été assassiné lors d'une frappe de drones américains sur l'aéroport international de Bagdad en Irak le 3 janvier.

La frappe aérienne a également martyrisé Abu Mahdi al-Muhandis, commandant adjoint des Forces de mobilisation populaire (Hachd) irakiennes. Les deux ont été martyrisés lors d'une frappe aérienne américaine qui a visé leur véhicule sur la route de l'aéroport.

Cinq militaires iraniens et cinq militaires irakiens ont été martyrisés par des missiles tirés par le drone américain à l'aéroport international de Bagdad.

Le 8 janvier, l'IRGC "Aerospace Force" a lancé de lourdes attaques de missiles balistiques sur la base aérienne américaine Ayn al-Asad dans le sud-ouest de l'Irak près de la frontière avec la Syrie et une base aérienne américaine à Erbil en représailles à l'assassinat américain du général Soleymani.

Ayn al-Asad est une base aérienne avec une piste de 4 kilomètres à 188 mètres d'altitude par rapport au niveau de la mer, qui est la principale et la plus grande base aérienne américaine en Irak. Selon les premiers rapports, les systèmes radar et les boucliers de défense antimissile d'Ayn al-Asad n'ont pas fonctionné et n'ont pas intercepté les missiles iraniens. Des rapports non officiels ont indiqué que les systèmes radar centraux de l'armée américaine à Ayn al-Asad avaient été bloqués par la guerre électronique.

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